Rêve idiot...Encore

Cette fois, je ne suis pas réellement dans le rêve. Mais un peu quand même. C'est une histoire de dauphins tueurs, que je vois comme un film. Un ami m'a prévenu que ça allait être une sorte de jurrassic park sanglant avec quelques mammiféres marins. Moi, fou de joie, je le suis dans l'écran.
Là, pas grand chose à raconter...Les dauphins bouffent un peu tout le monde, femmes, enfants, hommes, dans un grand déluge de sang et de tripes, commun. L'ami qui m' entrainé me raconte le film et me prévient à l'avance des différentes morts des personnages: L'abruti héroique qui attire les dauphins se fait découper les flancs à coups de pinces (Me demandez pas pourquoi y'a des bestioles à pinces maintenant), un autre se fait manger et couper en deux ou kekchose dans le genre.
L'histoire s'épaissit. IL s'avère que les dauphins arrivent à parler par l'intermédiaire de mutations. Mais ils ne font toujours pas attention à moi et au copain qui connaît déjà l'histoire. Pas de soucis, donc.
Là, il s'avère qu'un homme enfermé dans une cage est la cause de tous ces problèmes. Il porte une moustache et une veste à paillettes. J'apprends aussi qu'un concours se déroulait entre les humains et les dauphins pour savoir lesquels mangeraient le plus d'humains (suivez encore?).
Pendant ce temps, un homme essaye de sauver un bébé qui nage à moitié dans une piscine. Il peut éléctrifier la piscine mais doit attendre que le gamin sorte. S'ensuit tout une suite de sorties, de retombées à l'eau, mais le dauphin est malin et saute de temps à autres de l'autre côté du grillage dans un autre bassin.
J'ai oublié de préciser, on se trouve dans une sorte d'aquasplash ou de parc à la con dans le genre, mais avec des bassins électrifiés.
L'homme, très con, électrocute une ou deux fois le mouflet avant que celui-ci ne se fasse gober par le gros bestiau.
Mais les dauphins et les bestioles à pinces, décus par leurs adversaires, décident de laisser les humains prendre un peu d'avance, en les laissant désigner une quinzaine de volontaires pour se faire becter par eux-même.
Là-dessus, je m'offusque. Prenant mon courage à deux mains, je monte à fond l'électricité dans le bassin. Un des dauphins me remarque et s'approche lentement. Je le regarde droit dans les yeux, et lui en allonge une qui le projette à la baille.
Et là je hurle: "Allez, on les fout tous à la flotte ces putains de merdeux!"
Et on les fout tous à la flotte, avant de vider la piscine, ce qui les entraîne irrémédiablement vers la mer.
Fin ? Non, car les daupihns survivent au choc électrique. Devenus tout maigres (Chez moi, l'électricité fait perdre du poids) , ils préparent de nouveaux plans de conquête...Qui les arrêtera?
Un éboulement, il faut croire, qui leur tombe droit sur la gueule.
Faim.

Sur ce j'ai appelé mon psy qui a hurlé dès qu'il a entendu mon nom, puis bris de vitre et choc sourd. N'empêche, le père de mon ex-petite amie travaillait à Ravenel, asile de Mirecourt. Ca aurait pu me servir un brin, de temps en temps...
Bah !